L’industrie automobile est influencée par un groupe de mégatendances appelées « Automatisation, connectivité, électrification et partage » ou plus communément « ACES » pour « Automation, Connectivity, Electrification and Sharing ». Les tendances ACES représentent une nouvelle opportunité pour l’industrie, car elles relèvent un tout nouvel ensemble de défis. L’un de ces défis consiste à savoir comment faire face à l’augmentation de l’utilisation des logiciels dans l’automobile d’aujourd’hui. En réalité, il y a plus de lignes de code dans les voitures connectées que dans d’autres machines sophistiquées de notre époque telles que le F-35 Joint Strike Fighter de l’U.S. Air Force, le Boeing 787 Dreamliner ou la navette spatial américaine. Le matériel informatique utilisé aujourd’hui est plus puissant et, par conséquent, des millions de lignes de code peuvent être exécutées lors de l’exécution d’innombrables fonctions complexes. Les voitures connectées intègrent ainsi une multitude de systèmes. Elles communiqueront bientôt vers l’extérieur au moyen de la communication de véhicule à véhicule (V2V) et de la communication de véhicule à infrastructure (V2I), ainsi qu’en interne entre les sous-systèmes et les réseaux du véhicule. La sécurité est primordiale. Tous les systèmes embarqués doivent être sécurisés pour que rien n’affecte le véhicule lorsqu’il est en mouvement (ou à l’arrêt).

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Cet article de blogue est rendu possible grâce à notre grand partenaire Siemens dans le cadre du Forum Cybersécurité et sûreté dans les transports une initiative de Propulsion Québec et soutenu par le gouvernement du Québec.